Le périmètre d'étude se limite aux frontières administratives de la commune de Cassagnes-Bégonhès. Cette zone d'étude englobe un plateau ancien constitué de roches métamorphiques, telles que des schistes, micaschistes et granites.
Le sous-sol de la commune est principalement formé de schistes et granites, qui ont façonné les paysages et influencé le développement de l'agriculture et des formations naturelles.
Le terrain présente un plateau entaillé par des cours d'eau, notamment les gorges du Viaur. L'altitude varie de 550 à 600 mètres, et les pentes modérées dominent le paysage.
Le paysage de Cassagnes-Bégonhès est marqué par une forte activité agricole. Les haies bocagères ont été partiellement conservées, mais de nombreuses parcelles ont été agrandies, entraînant la disparition de certaines haies et la transformation des prairies naturelles en prairies artificielles.
Le site étudié inclut la vallée du Tarn et des rivières voisines, classées sous la directive Natura 2000. Cette zone est d'une grande importance écologique, notamment pour les espèces végétales et animales protégées.
Les principales espèces de faune et flore recensées dans la zone incluent des mammifères, des poissons, des oiseaux, ainsi que des végétaux caractéristiques des milieux humides et boisés.
Le site abrite diverses espèces d'invertébrés, amphibies, reptiles, ainsi que de nombreux oiseaux aquatiques et terrestres. Les zones humides, bien que rares, jouent un rôle crucial dans l'écosystème local.
Le projet de révision du PLU pourrait avoir des impacts sur les espèces locales, notamment les oiseaux rares et les mammifères, en modifiant les habitats naturels et en réduisant la biodiversité dans certaines zones.
La révision du PLU pourrait également affecter les habitats naturels protégés par la réglementation Natura 2000, notamment en altérant les milieux aquatiques et les zones boisées.
Les impacts directs incluent la destruction ou la modification des habitats naturels, tandis que les impacts indirects concernent les changements dans les flux écologiques, comme les courants d'eau et la circulation des espèces.
Des mesures de gestion telles que la plantation de haies et la restauration de zones humides sont proposées pour compenser les impacts environnementaux du projet. Ces actions visent à maintenir la biodiversité et à restaurer certains habitats.
Des recommandations spécifiques sont faites pour favoriser la croissance des habitats naturels, comme la gestion des haies et la restauration des milieux aquatiques, afin de minimiser les effets négatifs du projet sur la faune et la flore locales.
Le projet de révision du PLU aura des impacts modérés sur l'environnement, principalement dus à la transformation de certains habitats naturels. Toutefois, des mesures compensatoires et de gestion adaptées permettront de limiter ces effets.
La commune de Cassagnes-Bégonhès est située sur un plateau ancien constitué de roches métamorphiques telles que des schistes, micaschistes et granites. Elle est traversée par de nombreux cours d'eau, dont les gorges du Viaur au nord, avec une altitude moyenne oscillant entre 550 et 600 mètres.
Le sous-sol de la commune est principalement formé de schistes et granites, qui ont façonné les paysages et influencé le développement de l'agriculture et des formations naturelles.
Le terrain présente un plateau entaillé par des cours d'eau, notamment les gorges du Viaur. L'altitude varie de 550 à 600 mètres, et les pentes modérées dominent le paysage.
Le paysage de Cassagnes-Bégonhès est marqué par une forte activité agricole. Les haies bocagères ont été partiellement conservées, mais de nombreuses parcelles ont été agrandies, entraînant la disparition de certaines haies et la transformation des prairies naturelles en prairies artificielles.
Le site étudié inclut la vallée du Tarn et des rivières voisines, classées sous la directive Natura 2000. Cette zone est d'une grande importance écologique, notamment pour les espèces végétales et animales protégées.
Les principales espèces de faune et flore recensées dans la zone incluent des mammifères, des poissons, des oiseaux, ainsi que des végétaux caractéristiques des milieux humides et boisés.
Le site abrite diverses espèces d'invertébrés, amphibies, reptiles, ainsi que de nombreux oiseaux aquatiques et terrestres. Les zones humides, bien que rares, jouent un rôle crucial dans l'écosystème local.
Le projet de révision du PLU pourrait avoir des impacts sur les espèces locales, notamment les oiseaux rares et les mammifères, en modifiant les habitats naturels et en réduisant la biodiversité dans certaines zones.
La révision du PLU pourrait également affecter les habitats naturels protégés par la réglementation Natura 2000, notamment en altérant les milieux aquatiques et les zones boisées.
Les impacts directs incluent la destruction ou la modification des habitats naturels, tandis que les impacts indirects concernent les changements dans les flux écologiques, comme les courants d'eau et la circulation des espèces.
Des mesures de gestion telles que la plantation de haies et la restauration de zones humides sont proposées pour compenser les impacts environnementaux du projet. Ces actions visent à maintenir la biodiversité et à restaurer certains habitats.
Des recommandations spécifiques sont faites pour favoriser la croissance des habitats naturels, comme la gestion des haies et la restauration des milieux aquatiques, afin de minimiser les effets négatifs du projet sur la faune et la flore locales.
Le projet de révision du PLU aura des impacts modérés sur l'environnement, principalement dus à la transformation de certains habitats naturels. Toutefois, des mesures compensatoires et de gestion adaptées permettront de limiter ces effets.