Saint-Nizier-le-Bouchoux s'étend sur 2 830 hectares, au Nord du département de l'Ain à la charnière avec le département de la Saône-et-Loire, dans la plaine de la Bresse, à 32 km de Bourg-en-Bresse (soit une quarantaine de minutes), ville vers laquelle elle est tournée, et à 40 km de Mâcon (soit 50 minutes).
La commune se localise sur un axe routier secondaire (D56) entre Saint-Trivier-de-Courtes et SaintAmour dans le Jura.
La commune est limitrophe de :
Cormoz, Courtes, Curciat-Dongalon, Lescheroux, Mantenay-Montlin, Varennes-Saint-Sauveur (en Saône-et-Loire).
La commune de Saint-Nizier-le-Bouchoux fait partie de la Communauté de communes du canton de Saint-Trivier-de-Courtes; celle-ci était antérieurement le district de la plaine de Bresse, créé par arrêté préfectoral du 18 décembre 1990 modifié ; il a été transformé en communauté de communes par arrêté préfectoral du 26 décembre 2000.
La communauté de communes regroupe, sur son territoire de 195 km², 12 communes et 6218 habitants en 2011 (INSEE).
La commune de Saint-Nizier-le-Bouchoux appartient au canton de Saint-Trivier-de-Courtes, qui regroupe les mêmes communes. Enfin, la commune de Saint-Nizier-le-Bouchoux, appartient au territoire du SCOT Bourg Bresse Rervermont (jusqu'alors la communauté de communes appartenait au syndicat Bresse Revermont Saône).
Une croissance démographique récente
Avec 715 habitants, Saint-Nizier-le-Bouchoux est la troisième commune la plus peuplée de la Communauté de Communes (12.0 % de la population communautaire), après Saint-Trivier-deCourtes (980) et peu après Saint-Jean-sur-Reyssouze (720 habitants).
Après une baisse démographique constante depuis de nombreuses décennies, due à un solde naturel et un solde migratoire négatifs, la commune enregistre un regain de la population sur la dernière période intercensitaire (1999-2009) du à un solde migratoire élevé (+2.8%). Il correspond à un gain de 169 habitants, soit + 17 habitants par an.
Cette situation est comparable à celle de la communauté de communes. Elle peut s'expliquer par l'exode rural, l'arrêt de la ligne de chemin de fer, l'évolution de l'agriculture, la double activité qui s'est estompée. Notons que la commune a accueilli jusqu'à 1756 habitants en 1851 et 1225 en 1946 (données du préinventaire du département de l'Ain des richesses touristiques et archéologiques - 1992).
La population des ménages, c'est-à-dire des résidences principales est de 685 habitants en 2009, donc légèrement inférieure à la population municipale.
Cette différence peut s'expliquer par la présence de l'établissement de Seillon sur le territoire communal.