Douvres est située au centre du canton d'Ambérieu-en-Bugey, commune limitrophe (le centre d'Ambérieu est à 4 km).
Ce canton est lui-même positionné au centre du département de l'Ain, légèrement au Sud.
La commune est éloignée d'une cinquantaine de kilomètres de l'agglomération lyonnaise, représentant une demi-heure de route.
Bourg-en-Bresse, le chef-lieu du département, est à un peu plus de 30 kilomètres au Nord (également environ 35 mn).
Une demi-heure est aussi nécessaire pour se rendre à l'aéroport Saint-Exupéry situé sur la commune de Satolas (69).
Douvres se situe en bordure de la Plaine de l'Ain et au pied des contreforts du Bugey.
Les 526 hectares de la commune sont entourés des deux communes suivantes (voir la carte du canton ci-après) :
• Ambronay à l'Ouest, au Nord et à l'Est,
• Ambérieu-en-Bugey au Sud.
Pôles d'attraction pour les habitants de Douvres
- Commerces : Ambérieu-en-Bugey, Bourg-en-Bresse, Meximieux et Lyon.
- Scolaire : Ambérieu (collège, lycées) ou Bourg-en-Bresse, Lyon
- Emplois : Plaine de l'Ain (Centrale du Bugey, PIPA), EDF, France Télécom, SNCF, Education nationale, Base aérienne militaire ...
La commune de Douvres est attractive en raison de sa situation en première couronne d'Ambérieu (équipements et voies de communication à proximité, prix du foncier encore abordable, tout en ayant conservé son caractère de village.
Histoire
D'après le Préinventaire :
Voir le chapitre Patrimoine bâti.
- En 1200, la seigneurie est possédée par des gentilshommes du nom de Douvres sous la suzeraineté des abbés d'Ambronay.
. Au cours du XIIIe siècle, le château et le domaine entrent dans les possessions de la famille d'Oncieu qui les conserve pendant plus de cinq siècles. En 1600, la seigneurie est partagée entre les deux fils de Jean-Philibert d'Oncieu : Catherin et Guillaume. La part de ce dernier appartient encore à ses descendants en 1789. Celle de Catherin passe aux familles Moyria, d'Angeville et Montagnat. Voir le chapitre Patrimoine bâti pour le château.
- La peste fait des victimes en 1830, mais sans chute de population notable.
- En 1840, les gisements de lignite sont mis en exploitation. L'effondrement de certaines galeries provoque la fermeture de l'église en 1848 et sa démolition. Le quartier Saint-Pierre est menacé. Après un long procès gagné par la commune, l'exploitation de la mine est arrêtée. Elle est reprise à la fin du XIXe siècle, et arrêtée définitivement au début du XXè siècle.